samedi 28 septembre 2013

BOM DIA (Bonjour) MOZAMBIQUE!

 

À prime abord, le MOZAMBIQUE ne figurait pas sur notre route dû aux risques élevés de piraterie. Ce danger s’étant atténué et la recherche de documentation n’ont fait qu’attiser notre envie de découvrir ce pays encore méconnu.

 

Le MOZAMBIQUE, un arc-en-ciel de couleurs!

 

MOZAMBIQUE, pays d’Afrique australe, ouvert sur l’Océan Indien (canal de Mozambique), est limité au nord par la Tanzanie et au sud par l’Afrique du Sud. Ancienne colonie portugaise, indépendant depuis 1975, le MOZAMBIQUE a été meurtri par la guerre civile.

Depuis la fin de la guerre, le pays va de l’avant et la reconstruction est remarquablement rapide.

 

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Notre désir étant de parcourir les 2500 km de littoral, du nord au sud, au départ de Mayotte, nous atteignons l’archipel des Quirimbas.

 

Archipel des QUIRIMBAS

L’archipel des Quirimbas compte une dizaine d’îles ainsi que de nombreux îlots dispersés le long de la côte du MOZAMBIQUE. Certaines îles sont habitées depuis des sìècles et étaient déjà d’importants postes marchands arabes avant l’arrivée des Portuguais au XVe siècle.

 

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Pangane est un charmant village de pêcheurs. Les “paillottes” sont bien aménagées;  chaque maison possède son petit parterre et de grandes allées de sable bien aérées traversent le village. Également, des centaines de palmiers forment une magnifique cocoteraie naturelle!

 

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La pêche rythme le quotidien des gens.

 

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Un homme prépare le poisson qui sera mis à fumer.

 

 

 

 

 

 

 

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De petits feux de bois sont montés sur la plage autour desquels on installe les tiges de poissons à fumer.

 

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D’autres s’afèrent à récolter l’eau potable à partir de puits installés au centre du village.

 

 

En mi-journée, alors que la chaleur devient écrasante, la plupart des insulaires se posent sous un cocotier.

 

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Dans un petit coin à l’ombre, les gens s’adonnent à des jeux de société; la vie coule au ralenti!

 

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Jeu de solitaire et d’adresse “osselets-coquillages

 

 

 

Le MOZAMBIQUE est aussi fascinant sur le plan historique et culturel.

 

 

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À l’arrivée des premiers Portuguais, les bantous (peuple issu du nord de l’Afrique) habitaient déjà le pays depuis plus d’un millénaire.

 

 

 

Plusieurs femmes portent le masque blanc, à la fois protection solaire et masque de beauté, préparé à partir du bois de santal.

 

 

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Une côte ornée de plages et d’îles toutes plus belles les unes que les autres!

Ilha Quissanga

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si quelques hôteliers ont déjà mis la main sur certains de ces joyaux, beaucoup d’îlots demeurent encore vierges.

 

Ilha Matemo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le nord du pays prend davantage des allures de “bout du monde”!

 

 

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Pêche sur le platier à marée basse.

 

Entre ciel, terre et mer, le mélange des couleurs fait mal aux yeux!

 

 

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Très surpris de trouver autant de baleines à bosse ici; nous en sommes très heureux!

 

 

 

 

 

 

 

Elles sillonent, par centaines, le canal de Mozambique avant de retourner dans les mers froides de l’Antarctique.

 

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À chaque navigation, nous en apercevons plusieurs. De près, de loin, en solitaire ou en groupe, elles nous donnent à coup sûr un spectacle  époustouflant!

Nous les sentons très curieuses; elle n’ésitent pas à s’approcher pour venir voir qui nous sommes. Elles s’approchent doucement et s’éloignent avec la même élégance. Jamais nous n’avons perçu d’agressivité.

 

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Splash! Une baleine saute à quelques mètres de nous; tout juste si ne nous sommes pas éclaboussés!

 

 

 

 

 

Autre moment magique, celui où deux baleines nous font un plongeon synchronisé, note parfaite!

 

 

Joie de vivre, vivacité et spontanéité…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hors des sentiers battus, les gens sont très surpris par notre présence. Étant un peuple naturellement enjoué et expressif, ils n’hésitent pas à venir à notre rencontre. Ils passent tout près de notre bateau, à bord de leur charmante pirogue et nous saluent bien chaleureusement. Et dès qu’on pose pied à terre, le village entier vient à notre rencontre et y va d’un joyeux : “Bom Dia! Como esta?” 

 

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La langue officielle est le portugais, mais la plupart des Mozambicains parlent des langues bantoues. Outre les expressions d’usage, nous utilisons, surtout, le language des signes!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Offrir un ballon en partage, ça crée des liens, la spontanéité et l’émerveillement!

 

On bouge les pieds!

 

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Notre Olivier et sa bande de copains!

 

Aussitôt l’école terminée, Olivier sort sur le pont : “Vite papa, mes amis m’ont envoyé la main, il est temps que j’aille jouer à terre!”

 

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Malgré notre difficulté à communiquer avec les gens, nous trouvons très enrichissant de les observer dans leur quotidien.

 

Le MOZAMBIQUE compte environ 16 millions d’habitants. Malgré l’amélioration générale de la situation économique, il figure toujours parmi les pays les plus pauvres du monde. L’espérance de vie n’est que de 36.4 ans… et encore beaucoup de villages isolés sont privés d’eau potable.

 

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Étant dans une région très aride, les insulaires nous demandent à boire. Nous prenons donc l’intiative de leur apporter de l’eau à l’aide de nos bidons.

 

Et nous leur offrons des biscuits à manger.

 

Les gens ont faim… Voir la vitesse à laquelle des dizaines de petites mains se sont tendues vers nous en quête d’un biscuit m’a chaviré le coeur.  J’ai trouvé plus difficile de donner que de rester indiférente… mais transformée à jamais par notre geste de générosité.

 

Plus de 50% des Mozambicains sont analphabètes. Malgré une importante campagne d’alphabétisation menée par le gouvernement, le système d’éducation demeure handicapé par l’insuffisance d’enseignants qualifiés dans le primaire et le secondaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendant le jour, les pêcheurs étendent leurs filets sur le sable pour les réparer.

Leurs filets de pêche sont immensément longs! On ne veut surtout pas s’y prendre avec Myriam

 

 

Chaque fin de journée, sur la rive, les insulaires guettent les pêcheurs remontant leurs filets au loin dans la baie. Dès qu’ils voient le fruit de la pêche du jour, des cris de joie fusent de partout!

 

Les pêcheurs nous racontent qu’ils remontent à bord des filets beaucoup moins garnis qu’auparavant. Désormais, ils récupèrent des poissons qui étaient, jadis, trop petits.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le village entier met la main à la pâte pour récupérer le précieux butin.

 

 

Nous avons été très touchés par  la joie de vivre débordante de cette population, malgré leur vie très rude. Une belle école de la vie!

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À l’apogée de l’esclavage, au XIXe siècle, l’une des routes de la traite des esclaves les plus actives partait des territoires actuels du Malawi et de la Zambie pour rejoindre la côte du MOZAMBIQUE.

Plusieurs centaines de milliers d’Africains (certains historiens avancent même jusqu’à plus d’un million…) furent alors vendus dans les ports du MOZAMBIQUE, notamment à Ilha Ibo et Ilha de Moçambique.

 

Ilha IBO

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Fortifiée en 1609, Ilha Ibo devint, à la fin du XVIIIe siècle, l’un des plus importants comptoirs d’esclaves et satisfaisait notamment à la demande des plantations françaises de canne à sucre à l’île Maurice.

 

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Fort San José

 

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Église Sào Joào Baptista

 

 

 

 

 

 

Accessible que par la mer, une île sans véhicule et une population qui possède encore un bel espace vital.

 

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Aujourd’hui, Ilha Ibo est un endroit fascinant, avec ses larges avenues bordées de villas délabrées et de bâtisses en ruine où les racines des arbres ont pris possession des lieux.

 

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La qualité et la quantité des sculptures sur les portes d’entrée des maisons étaient symboles de richesse et prestige.

 

 

 

 

 

 

 

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Malgré ses 8ooo habitants, la cité est tellement grande qu’elle paraît inhabitée.

 

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Ilha de MOÇAMBIQUE

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L’implantation des Européens dans la région du MOZAMBIQUE débuta en 1498, lorsque l’explorateur portuguais Vasco de Gama accosta sur l’Ilha de Moçambique, alors qu’il cherchait la route des épices.

 

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Fort San Sebastiào

 

L’intérêt des Portuguais pour la région découlait, d’une part, de la nécessité de créer des lieux d’approvisionnement sur la route maritime reliant l’Europe à l’Orient, d’autre part, du désir à contrôler le commerce de l’or avec les régions de l’intérieur. Au milieu du XVIe siècle, l’ivoire supplente l’or dans les échanges.

 

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Anciennes portes d’accès à la ville fortifiée

 

 

 

 

 

 

Ilha de Moçambique prospéra à la fois comme centre marchand et base navale. L’île devint rapidement la capitale portuguaise de l’Afrique de l’Est, statut qu’elle conserva jusqu’à la fin du XIXe siècle, lorsque Maputo lui ravit son titre.

 

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Tout comme sa “soeur”, aujourd’hui, Ilha de Moçambique affiche une curieuse étrangeté, à mi-chemin entre ville fantôme et communauté active.

 

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Beaucoup de bâtiments sont en très mauvais état, mais certaines demeures ont été restaurées ces dernières années, notamment depuis que l’île a été classée au patrimoine mondial par l’UNESCO en 1991.

 

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Myriam dans la mire…

 

 

 

 

 

 

 

La situation privilégiée de l’île pour le commerce d’esclaves, d’or et d’ivoire en a fait une cible pour les Arabes, les Turcs, les Français et les Hollandais. Toute les tentatives d’invasion furent infructueuses; les Portuguais sont demeurés, déterminés à garder le contrôle.

 

Nous sommes stupéfaits par l’immensité des deux “îles-villes”; pour l’époque, ce devait être très imposant!

 

 

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C’est un pur bonheur d’être à nouveau entourés des boutres; un beau plaisir pour nos yeux!

 

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Bien avant l’arrivée des premiers Européens, les marins et marchands swahilis, arabes, persans, indiens et malais utilisaient les boutres pour leurs échanges de marchandises dans l’Océan Indien.

 

 

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Drôles de petits nids d’oiseaux suspendus aux feuilles des cocotiers.

 

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019Anaplecte écarlate

 

Bien avant la guerre, les terres du Mozambique étaient habitées par de nombreuses colonies d’animaux sauvages. Pendant la guerre, les parcs animaliers ont été décimés par la population affamée. Heureux de voir que l’état a mis sur pied un grand programme de réhabilitation afin d’offrir, d’ici quelques années, aux touristes la possibilité d’un combo “plage-safari”.

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En navigation vers Bazaruto…

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Un autre moment privilégié fût lorsqu’une baleine et son baleineau ont nagé tout près de Myriam. D’abord à l’étrave, elles sont ensuite venues frôler notre jupette (partie arrière du bateau). Captifs, nous les avons observer, affalant les voiles se laissant dériver afin de prolonger cet instant MAGIQUE!

 

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Nous avons été témoins d’une maman qui enseigne à son petit comment remonter à la surface pour respirer; sous l’eau, elle se glisse sous son baleineau et le pousse hors de l’eau. Frissons garantis!

(Une mention spéciale à notre Guillaume pour cette magnifique photo!)

 

 

 

Pas si p’tit le petit!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Un “bonus” pour le photographe!

 

 

 

 

 

 

 

 

Archipel de BAZARUTO

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L’archipel de Bazaruto dégage une beauté hors du commun! Ça ressemble à un fragment de désert posé sur l’océan.

 

L’archipel, situé dans la partie sud du Mozambique, compte quatre îles : Bazaruto, Benguera, Magaruque et Santa Carolina.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autrefois appelée “Paradise Island”, cette petite île de 1,5 km de long fût rebaptisée Santa Carolina par le gouverneur de l’île de  l’époque, en hommage à son épouse décédée en donnant naissance à leur enfant.

 

 

Sauvage et déserte, elle est entourée d’un collier de coraux et de beaucoup, beaucoup de sable!

 

 

 

D’un côté, la baie avec ses eaux cristallines et peu profondes; de l’autre, l’océan agité. Les enfants s’éclatent dans les vagues et passent un temps fou à dévaler les dunettes de sable!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous savourons ces instants précieux, d’autant plus que nous en sommes à nos dernières “escales-plages” dans l’Océan Indiensnif!

 

Île de Bazaruto

 

L’île de Bazaruto est la plus grande île de l’archipel avec ses 37 km de long. C’est également la plus sauvage.

 

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Une fois de plus, les habitations sont très typiques et différentes des autres villages visités.

 

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Et nous y rencontrons une population toujours aussi souriante, vivante et accueillante!

 

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Olivier bien entouré!

 

 

Ballade à cheval mémorable!

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C’est à dos de cheval que nous avons eu envie de découvrir les grandes beautés de l’île!

 

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D’immenses dunes de sable coupent l’île de Bazaruto de l’océan.

 

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Progresser dans les dunes avec les chevaux demandait beaucoup d’adresse; Guillaume et Olivier ont guidé leur monture avec brio. Épatants nos petits cow-boys!

 

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“Ya cheval, Ya!”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pour la première fois, Olivier monte seul à cheval.

 

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Le sol de l’île, sableux, est très pauvre, donc recouvert d’une végétation basse et broussailleuse.

 

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Nous avons le sentiment que le soleil, la mer et le sable se sont associés pour tenter d’écrire le mot “harmonie”!

 

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Une autre belle expérience pour la famille!

 

 

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Le MOZAMBIQUE nous a fascinés à travers sa population des plus accueillantes et attachantes et son littoral d’une rare beauté. Vraiment une super de belle decouverte!

 

En route maintenant vers l’Afrique du Sud!