lundi 26 décembre 2011

NOUVELLE-ZÉLANDE; ÎLE DU NORD (Partie II)

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WHANGAROA

 

Les îles de la NOUVELLE-ZÉLANDE sont découvertes et habitées pour la première fois, par un peuple originaire de l'est de la Polynésie, probablement des îles Cook ou de Tahiti (les Maoris). Mille ans plus tard, le navigateur hollandais, Abel Tasman, est le premier Européen à atteindre ces îles en décembre 1642. Il est suivi par l'explorateur britannique James Cook, qui les visite en 1769. À l'époque, on pense que la population de NOUVELLE-ZÉLANDE atteignait environ 125 000 habitants.

Le terme « Maori » remonterait quant à lui au milieu du XVIIIe siècle, lorsque les descendants des premiers colons l'ont adopté pour se différencier des pakeha (Européens); il signifie « ordinaire » ou « normal ».

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BAY OF ISLANDS

 

Cependant, ce n'est qu'à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe que des Européens, essentiellement des Britanniques, des missionnaires et des baleiniers, établissent des colonies et des comptoirs de commerce, principalement dans la Bay of Islands sur l'île du Nord.

 

BAY OF ISLANDS

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BAY OF ISLANDS est l’une des attractions principales de la NOUVELLE-ZÉLANDE. Elle est située sur la côté Est de l’île du Nord; notre port d’attache, la marina d’Opua, en fait également partie.

100_7159 C’est en effet un très joli plan d’eau avec des accès à la mer, environ 150 îles aux formes distinctes, de belles collines et d’agréables plages. Les îles toutes près les unes des autres, les navigations sont courtes et faciles, justement la simplicité dont nous avons envi présentement.

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Plusieurs de ces îles offrent de belles randonnées avec de magnifiques points de vue à chaque fois. Il est aussi souvent possible de faire le tour de l’île à la marche.

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L'isolement de la NOUVELLE-ZÉLANDE et sa colonisation tardive ont entraîné le développement d'une flore exceptionnelle de caractère subtropical. Avant l'arrivée massive des Européens, la végétation était essentiellement composée de forêts denses d'arbres à feuilles. Depuis 1900, de nombreuses espèces de plantes exotiques ont été introduites.

 

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Sur les 2 000 espèces indigènes, environ 1 500 sont endémiques, comme le Flamboyant.

 

 

 

 

 

Le Flamboyant est à son meilleur en ce début d’été austral.

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Si sa flore est très riche, la NOUVELLE-ZÉLANDE possède en revanche peu d'espèces animales indigènes. Aujourd'hui, la faune sauvage de NOUVELLE-ZÉLANDE comprend notamment l’agneau et l'opossum australien. Sans prédateurs naturels, ces animaux se sont énormément multipliés et causent de nombreux dégâts sur l'environnement. C’est pourquoi, qu’actuellement, des pièges sont installés un peu partout dans les parcs afin de capturer l’Opossum qui cause beaucoup de dommages notamment aux Flamboyants.

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Autre point considérable, BAY OF ISLANDS est remplie de baies bien protégées.

 

WHANGAROA

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À l’approche du temps des fêtes, nous cherchions un endroit à la fois joli, tranquille, propice aux activités entre amis et pas trop loin d’Opua pour célébrer notre 3e NOËL sur l’eau;  WHANGAROA fût désigné l’endroit par excellence.

 

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Arrivés sur les lieux quelques jours avant le grand évènement, nous partageons de belles activités avec nos amis des voiliers Dorénavant et Spirare. Faut bien se mettre dans l’ambiance!

Jean-Frédéric, Rosemarie et Camille (Dorénavant) et l’équipage du Myriam. (Photo prise par Serge, Spirare)

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Une superbe cascade surplombe la baie!

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Après une belle randonnée, nous finissons par arriver au pied de ladite chute.

Disons que c’est comme si le sentier était en “construction”… le système de balisage n’est pas tout à fait finalisé!

Mais l’effort en valait le coup!

 

 

 

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Silver Fern (fougère argentée), arbre emblématique de la NOUVELLE-ZÉLANDE pouvant atteindre 15 m de haut.

 

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En pleine action lors du passage nous menant au sommet Kairara (Dukes Nose).

De haut en bas : Annie, Guillaume, Camille et Serge.

 

 

 

 

 

 

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Puis voilà courageux Serge directement sur le Nose!

 

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Niché dans le creux d’une vallée, tout juste en face de notre ancrage, se trouve un petit chalet rustique à souhait. Tiens, tiens, pourquoi ne pas faire notre party de NOËL là? Toujours aussi chanceux, il était réservé pour les mois à venir, sauf pour le 24 décembre!!!

S’ajoutent à nous Liliane et Mike (Meikyo), Johanne et Edgar (un couple d’amis des Spirare d’Hong Kong venus pour des vacances)  ainsi que Capucine, Bart, Léon et Oscar (petite famille suisse rencontrée en camping). Au total, 18 personnes pour festoyer!

 

La journée s’annonce bien…

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Rosemarie, Camille et Mélanie (Dorénavant)

 

 

 

 

Pendant que les filles trippent “scrapbooking”…

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     les hommes des bois sont au travail…

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et préparent le réveillon!

(Photo prise par Mélanie, Dorénavant)

 

Un peu plus tard en après-midi…

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Guillaume met ses talents de magicien à l’œuvre;

 

 

 

Ici avec Serge (Spirare)

 

 

Jetez un œil sur notre décor qui nous fait bien tripper!

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Même les plus septiques sont  confondus!

 

 

 

 

Ici avec Edgar.

 

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L’endroit est idéal pour les plus petits qui dépensent leur énergie sans contraintes. Olivier entouré d’Oscar et Léon, ses petits amis suisses.

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Puis les plus grands ont du temps juste pour eux!

 

 

Guillaume, Camille et Rosemarie

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Nous n’avons pas manqué de bouffe encore cette année!

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Tout un festin : hors d’œuvre, salades, dinde, jambon, tourtières, pizza, plats mijotés et longue liste de desserts dont la traditionnelle bûche de NOËL et le pouding chômeur!

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De la bonne bouffe, du bon vin, en bonne compagnie et un décor enchanteur!

 

Cette année, les hommes ont participé activement…

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Jean-Frédéric (Dorénavant), Serge (Spirare), Edgar, Mike (Meikyo) et Ghislain (Myriam).

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Bon, ils ont quand même eu besoin de quelques notions de base données par Joanne (Spirare), notre chef choristes…

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Les gars, suivez les conseils des filles, et ça va bien aller!

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Et ça portée fruits! Compétitifs vous dites? Une belle rivalité gars-filles s’est installée à certaines occasions, à l’exception du Minuit Chrétiens qui fût chanté à gorges déployées par tous!

 

 

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L’équipe des filles!

 

 

 

 

 

 

 

Mélanie (Dorénavant), Liliane à la guitare (Meikyo), Johanne, Joanne (Spirare), Camille (devant), Rosemarie derrière et Annie (Myriam).

 

 

Ce fût un retour aux sources avec un NOËL féérique, des chants traditionnels, une atmosphère d’antan, éclairés à la chandelle; quel cachet!

Tout le monde a participé, dessinant un magnifique tableau harmonieux et coloré, comme des morceaux de puzzles bien assemblés.

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Évidemment, la bittt à Tibi devenue une incontournable!

 

 

 

 

 

 

 

2011_12_24_SPIRARE_5197c  rzPuis, entre deux tours de chants, nous allons sur le balcon observer le ciel étoilé, les bateaux à l’ancre et l’arbre de NOËL sur Myriam. (Photo prise par Serge, Spirare)

C’est un sentiment très particulier que de se retrouver en NOUVELLE-ZÉLANDE, entourés de nos amis, à partager une bonne bouffe et à chanter des chants traditionnels jusqu’aux petites heures du matin. Cette magie rend notre NOËL très intense!

C’est notre 3e NOËL sur le bateau; à chaque année, nous ne savons à quoi nous attendre, tout se dessine à la dernière minute et coup sur coup, nous vivons un NOËL mémorable. Chaque fois, c’est différent et unique, mais toujours grandiose. Une chose demeure : loin de nos familles, nous sentons le besoin de nous organiser un beau party de NOËL et de tirer profit au maximum des éléments qui nous entourent afin que nostalgie fasse place au plaisir!

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Bonne et heureuse année 2012. Qu’elle vous soit douce et remplie de SANTÉ! Faites-vous plaisir!

À L’AN PROCHAIN!

Annie, Ghislain, Guillaume et Olivier sur MYRIAM xx

jeudi 15 décembre 2011

JOYEUSES FÊTES!

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Lutin Olivier, 6 ans;

 

 

 

 

 

 

 

 

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Lutin Guillaume, 10 ans;

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Père Noël, un peu surpris, et mère Noël sans ses lunettes soleil; ouch!

 

 

 

 

En cette période de festivités, l’équipage du MYRIAM vous souhaite de très JOYEUSES FÊTES! Nous vous souhaitons un merveilleux NOËL entouré de vos familles et amis; qu’il soit rempli d’amour, de plaisir et d’agréables moments à partager. Que l’année 2012 soit douce et abondante de SANTÉ!

Nous profitons de cette occasion pour réitérer notre enthousiaste à vous savoir si fidèles à nous suivre dans notre aventure. C’est un réel plaisir de partager notre passion avec vous tous.

Quels que soient vos projets, continuez de rêver… les yeux ouverts!

Annie, Ghislain, Guillaume et Olivier xxxx

jeudi 1 décembre 2011

NOUVELLE-ZÉLANDE; ÎLE DU NORD (Partie I)

 

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Tongariro Nt. Park

 

 

NOUVELLE-ZÉLANDE, en maori Aotearoa (« terre du long nuage blanc »), pays insulaire d’Océanie.

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Le pays est formé de deux grandes îles, l'île du Nord (où se trouve la capitale Wellington) et l'île du Sud, séparées par le détroit de Cook, et de nombreuses petites îles.

L'île du Nord s'étend sur près de 114 600 km2 et concentre la majorité de la population.

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Au centre de l'île se trouve un plateau, zone d'activité volcanique et théâtre de fréquentes secousses sismiques.

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Il existe trois volcans en activité dans la région du plateau dont le mont Ruapehu (2 797 m), point culminant de l'île;

Mont Ruapehu

 

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ainsi que des Geysers…

 

 

 

 

 

 

 

 

(Lady Knox Geyser, site Wai-O-Tapu)

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des boues bouillonnantes…

 

 

 

 

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et des sources thermales.

 

L’AVENTURE COMMENCE…

C’est avec beaucoup d’excitation que nous troquons notre vie-bateau pour le camping; nous partons une dizaine de jours explorer l’île du Nord.

 

TONGARIRO NATIONAL PARK

Ça commence bien avec le parc Tongariro qui est considéré comme l’un des plus spectaculaires parcs de la NOUVELLE-ZÉLANDE avec ses montagnes majestueuses, ses lacs turquoises et ses nombreuses possibilités de randonnées.

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Nous optons pour le parcours Tongariro Crossing, d’une longueur  de près de 20 km.

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Hier, lors de notre arrivée dans le parc, nous ne pouvions même pas voir, dans le brouillard, à plus de 200 pieds. Puis, ce matin, un spectacle exceptionnel s’offre à nous : un ciel tout bleu, complètement dégagé. Il faut être bénis pour avoir de telles conditions!

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Toutefois, c’est avec un Olivier bien grippé que nous entamons notre journée. C’est du haut des épaules à Ghislain qu’il a vécu cette randonnée, ne mettant pratiquement pas le pied à terre.

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Le pauvre ti-homme, il a dormi une bonne partie de la journée.

 

 

 

 

 

 

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C’est super de pouvoir partager ces moments avec nos amis les Dorénavant! Les parents ne cessent de s’émerveiller devant tant de beauté : “Hé que c’est beau! Regarde comme c’est beau! J’en reviens pas comme c’est beau!” Tandis que les enfants, tout en jasant, enchaînent les pas l’un après l’autre.

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Si Tongariro Crossing est considérée comme LA  plus belle randonnée d’une journée en NOUVELLE-ZÉLANDE, pour nous, elle figure comme l’une des plus belles à notre actif!

Tout au long du parcours, nous avons de beaux points de vue; complètement hallucinant!

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Après deux ans d’absence, les enfants sont si excités de jouer dans la neige!

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Je CA-PO-TE sur la végétation rencontrée; si colorée et variée, là où la neige printanière est encore présente.

 

 

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Succession des Emerald lakes, trois lacs qui se trouvent , comme la plupart des lacs de la NOUVELLE-ZÉLANDE, dans des anciens cratères volcaniques.

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Toute la bande se trouve au point le plus culminant : 1886 m. Il vente fort et le chocolat chaud est bon! Nous sommes tous vraiment fiers de l’exploit, car 20 km en une journée est à la limite de ce que nous pouvons faire  en famille; nous revenons tous exténués, mais ô combien comblés!

Derrière, le mont Ngauruhoe (2290 m); le “Mordor; la montagne du Destin” pour les amateurs du Seigneur des anneaux.

 

SOURCES THERMALES

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Site Crater of the Moon

 

 

 

 

 

Les “Fumerolles” sont les ouvertures à partir desquelles la vapeur et les gaz volcaniques s’échappent. Le son perceptible est produit par la pression de la vapeur qui émane des minuscules fissures.

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Les “Cratères” sont formés lorsque les bouches d’aération sont temporairement bloquées. Lorsqu’elles se dégagent, la chute de pression entraîne une éruption qui engendre l’effondrement du sol créant ainsi  le cratère.

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Site Wai-O-Tapu; situé sur la zone volcanique “Taupo”, l’une des plus grandes surfaces thermales en activité au pays; 250 km de long, 80 km de large.

 

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Le volcanisme ne se manifeste pas seulement par des éruptions spectaculaires. En réchauffant l'eau du “sous-sol”, il provoque également la formation de piscines d'eau chaude.

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Les minéraux présents dans les eaux des sources thermales se sont déposés sur le sol environnant, formant des terrasses. L’eau chaude qui s’accumule sur ces terrasses forme des bassins au fond desquels prospère une algue qui colore leurs eaux.

 

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Les “Mudpools”, petits volcans de boue, sont constitués de monticules formés par de l’eau chaude mélangée à de la fine matière rocheuse sortie de terre.

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Doux matin…

 

NOUVELLE-ZÉLANDE rime également avec Kiwi :

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Kiwi, le fruit…

 

 

 

 

 

 

 

 

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et Kiwi l’oiseau!

 

 

 

 

 

En réalité de la taille d’une grosse poule, le kiwi (oiseau), est l’emblème de la NOUVELLE-ZÉLANDE. Cet oiseau au long bec fin et pattes courtes, mais puissantes est incapable de voler. Comme les kiwis sont nocturnes, ils sont difficiles à observer.

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Fleurs de kiwi;

 

 

 

 

 

Les toutes premières essences du kiwi ont été amenées en NOUVELLE-ZÉLANDE en 1904 et sont originaires de la Chine. Depuis ce temps, le fruit croît ici de façon naturelle, mieux que nulle part ailleurs dans le monde dû à des conditions climatiques exceptionnelles. Notamment, les hivers ne sont pas très rigoureux et les étés ne sont pas caniculaires, ni extrêmement secs. Également, les sols sont constitués de profondes couches poreuses de cendres volcaniques provenant de l’activité volcanique du centre de l’île du Nord ce qui permet aux racines d’aller puiser profondément l’humidité nécessaire sans avoir recours à l’irrigation artificielle.

Trop tôt en saison, nous n’avons pas pu voir celui que l’on surnomme “le fruit le plus sain du monde”!

 

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La NOUVELLE-ZÉLANDE, c’est aussi de nombreuses rivières dont la plupart prennent leur source dans les montagnes.

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PÉNINSULE DE COROMANDEL

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Karangahake Gorge

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Nous passons une journée à explorer les anciens sites miniers du début du siècle. Nos petits explorateurs, en quête d’Or, parcourent toutes les galeries sous-terraines!

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Vue sur les Pinacles de Coromandel.

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Une autre belle randonnée, de 10 km cette fois-ci, nous faisant traverser la vallée de Kauaeranga.

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Nous avons retrouvé notre Olivier en pleine forme! Éclaireur devant, chevauchant les hautes marches, tout en racontant ses histoires cocasses; j’avais du mal à suivre derrière…

Guillaume, toujours aussi bon marcheur!

 

 

 

 

 

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Les Pinacles (759 m)

 

De vrais vacances en pleine nature, juste comme nous les aimons! Comme quoi, sur terre ou sur l’eau, ça fait du bien de changer de rythme!