mardi 29 octobre 2013

CAP de BONNE-ESPÉRANCE!

 

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Le célèbre… et redoutable CAP de BONNE-ESPÉRANCE!

 

Anciennement nommé Cap des Tempêtes dû aux difficultés à le franchir, le roi du Portugal d’alors, Jean II, le renomma le Cap de Bonne-Espérance, car il représentait alors l’espoir d’ouvrir une route vers les épices qui ne passerait plus par l’intermédiaire des Arabes.

 

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Cette pointe au sud de l’Afrique est  l’endroit où convergent les eaux de l’Océan Indien et de l’Atlantique.

 

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Lorsque nous amorçons notre descente de la côte de l’Afrique du Sud, nous changeons de terrain de jeux…

Bien que très célèbre, la côte du Cap de Bonne-Espérance a mauvaise réputation… tant de navigateurs y ont fait naufrage…

Trois facteurs font de la “Wild Coast” et du Cap de Bonne-Espérance le deuxième endroit le plus difficile à naviguer dans la monde, après le Cap Horn :

  • le peu de ports pour s’abriter;
  • le fort courant des Aiguilles longeant la côte;
  • le temps imprévisible… et les grains violents!

 

Les fronts se succèdent à intervalle de 3 à 5 jours; survient alors un violent coup de vent dévastateur du sud-ouest, se frottant au courant des Aiguilles, créant ainsi des vagues géantes de plus de 18 mètres de hauteur!

Lorsque la météo nous semble bonne, nous devons y aller, car les conditions parfaites ne durent que 20 minutes par semaine…

Et faut être prêt à aller à la guerre!

 

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C’est “fret”…Pas exactement l’image qu’on se fait de l’AFRIQUE!

 

Nous avons constamment les yeux rivés sur notre baromètre… et à la venue d’un coup de vent, il n’y a pas juste le baromètre qui est en chute libre… le thermomètre dégringole et nous perdons plus de 20 degrés… en quelques heures! Bien loin de la chaleur du Botswana!

 

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Dans ces lieux symboliquent où les eaux de l’Océan Indien se mêlent à celles de l’Atlantique, nous avons observé une faune abondante!

 

 

 

 

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Nombreuses baleines, dauphins, tortues, pingouins, phoques et des milliers d’oiseaux dont le majestueux Albatros!

 

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Nous avons passé des heures à admirer la perfection de son vol plané! C’est un oiseau immense; ailes déployées, il mesure jusqu'à 3 mètres d'envergure! Pour tout dire, les fous de Bassan ont l’air de bourdons à côté!

 

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Fou du Cap qui prend son envol!

 

 

 

 

 

 

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Manchot du Cap

 

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Pour ajouter à la magie, une baleine nous fait coucou à moins d’un mile du Cap!

 

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C’est dans des conditions presque parfaites que nous avons vu défiler le Cap de Bonne-Espérance.

 

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Malgré toutes nos appréhensions dans cette portion de navigation, nous avons eu une chance et un “timing” avec la nature;  les opportunités se sont succédées de sorte que nous avons mis moins d’une semaine pour parcourir les 840 miles nautiques séparant Durban de Cape Town, alors que nous avions prévu, initialement, un mois en effectuant de petits sauts de puce, d’escales en escales en attendant une météo clémente.

 

 

Un gros MERCI à Monsieur Claude Arcand (VE2AYX) notre météorologue, qui, une fois de plus, aura été alerte et très consciencieux, nous assurant des prévisions à jour pour un passage en toute sécurité.

C’est lui qui nous a déniché le petit trou à travers les nuages pour cet excellent passage!

Le Réseau du Marin 14.150 à tous les jours à 21h TU.

 

 

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Bien que nous ayons eu la chance de les observer en mer, il est plus facile de photographier les manchots du Cap les deux pieds sur terre!

 

 

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Le manchot du Cap (African Penguin) vit sur les côtes sud de l'Afrique et de la Namibie.

 

 

 

 

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La population totale de manchots du Cap est en nette régression, sous l'effet combiné de plusieurs facteurs : la surpêche, qui provoque la raréfaction de leurs sources de nourriture, la pollution des eaux marines et l'utilisation du guano (dans lequel ils pondent), enlevé des plages à des fins de fertilisation des terres.

 

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Croqué sur le vif!

 

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Douce tendresse!

 

 

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Notre retour dans l’Atlantique marque la fin d’une grande étape! C’est avec le coeur à la fois léger, ainsi qu’un sentiment profond de fierté et d’accomplissement que nous avons atteint la jolie ville de Cape Town.

Nous prévoyons y passer quelques semaines, en attente de nos visas d’entrées des prochains pays à visiter. Nous allons en profiter pour faire quelques travaux d’entretien sur Myriam, avancer l’école et prendre un peu de repos avant de poursuivre vers la Namibie.

 

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En compagnie de Patrick et Rinette, des suds-africains, qui, bien que nous connaissant qu’à travers notre blog, n’ont pas hésité à faire 3h de route pour venir nous saluer et nous souhaiter la bienvenue, un splendide bouquet de fleurs à la main! WOW! Nous ne le dirons jamais assez :

NOTRE PLANÈTE EST BELLE… ET LES GENS QUI L’HABITENT SONT EXTRAORDINAIRES!

 

À bientôt!

dimanche 13 octobre 2013

ZAMBIE et BOTSWANA!

 

Nous rêvions de voir les Chutes Victoria, nous nous envolons vers la ZAMBIE!

 

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Chutes VICTORIA

 

Les Chutes Victoria sont situées sur le fleuve Zambèze, à la frontière de la Zambie et du Zimbabwe.

 

**Lorsque nous avons voulu franchir la frontière du Zimbabwe (notre hôtel s’y trouvant), nous avons fait face à un pays actuellement en crise, où les autorités développent la corruption et “carbure” aux menaces; nous n’avons eu que des ennuis. Notre séjour aura duré 2 heures… Simplement soulagés d’en être ressortis… De tous les pays visités à ce jour, c’est le seul où nous n’y remettrons pas les pieds…**

 

ZAMBIE

Maintenant de retour du côté de la Zambie, nous étions bien décidés à savourer pleinement notre séjour!

 

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“Paré moussaillon Olivier?”

 

 

 

 

Ça fait plus de quatre ans que nous avons cette idée en tête : survoler les Chutes Victoria en hélicoptère!

 

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“Prêts Guillaume et Annie?”

 

 

 

 

 

“Oh Yessss!”

 

C’EST PARTI!

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Les Chutes Victoria font partie des sept merveilles naturelles du monde (avec, entre autres, le Grand Canyon et la Grande Barrière de Corail)!

 

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Baptême en hélico pour nos mousses!

 

 

 

 

 

 

Olivier, à la fois captivé par la beauté des lieux et l’hélicoptère elle-même!

 

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Tout le monde à son poste!

 

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Bien qu'elles fussent connues des populations locales sous le nom de Mosi-oa-Tunya (la « fumée qui gronde »), l’explorateur David Livingstone fût le premier Européen à observer les chutes en 1855. Il les renomma en l'honneur de la Reine Victoria.

 

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Un arc-en-ciel nous fait un clin d’oeil!

 

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Une superbe prise de vue de Guillaume qui prend de plus en plus  plaisir à faire de la photo!

 

 

Les Chutes Victoria appartiennent au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1989.

 

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Situées à l'un des endroits les plus larges du Zambèze, les Chutes Victoria, qui s’étalent sur une largeur d'environ 1,7 km, plongent dans un gouffre étroit de 110 m de profondeur; l'eau ressort du gouffre par un étroit canyon de 60m de large creusé dans la paroi opposée.

Comme nous sommes au plus fort de la saison sèche, seulement  le quart des chutes est arrosée! Ça demeure tout de même un site exceptionnel!

En période de crue des eaux, le haut du plateau est complètement submergé; vous pourriez alors voir une impressionnante quantité d’eau sur toute la largeur de la tranchée. Le nuage d’eau pulvérisée produit par les chutes peut s'élever à plus de quatre cents mètres  de haut!

 

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De retour sur terre, nous parcourons les différents sentiers à proximité des chutes.

 

 

 

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Dû à leur disposition particulière, les chutes peuvent être vues de face à une distance d'une centaine de mètres seulement.

 

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Puis, nous avons voulu sortir de la façade “artificielle” de la région des Chutes Victoria, devenue très touristique, pour aller à la rencontre des gens.

 

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Le village traditionnel de Mukoni.

 

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Chaque terrain est délimité par une “clôture” de paille. Une propriété comporte quatre maisonnettes : une cuisine, une chambre des maîtres, une chambre “filles” et une chambre “garçons”.

 

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Bien que les ruelles soient “rudimentaires”, toutes portent un nom indiqué sur un grand panneau bien en vu.

 

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Maison “cuisine”

 

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C’est toujours un grand plaisir de se rapprocher de la population. Ça nous fait beaucoup de bien!

 

 

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Bien installé à l’ombre, un homme tresse de beaux paniers en paille.

Faut dire qu’il fait particulièrement chaud cet après-midi là!

 

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Petites et grandes, les filles ont souvent les cheveux tressés.

 

 

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Une fois de plus, les gens sont souriants et très gentils!

 

 

 

 

BOTSWANA

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Au royaume des éléphants!

 

On dit du BOTSWANA que c’est le plus beau pays d’Afrique! Nous nous sommes concentrés sur le magnifique environnement du parc national Chobe, l’endroit où la diversité de la faune du BOTSWANA est la mieux représentée.

 

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En période de sécheresse, la savane prend des allures de grands déserts! La savane se vide, les animaux migrent vers la rivière Chobe, là où la seule verdure persiste. Ils s’y retrouvent par milliers pour s’abreuver, se rafraîchir, s’alimenter et tenter de trouver un petit coin à l’ombre!

 

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C’est également dans ce parc national qu’on retrouve la plus grande concentration d’éléphants de tout l’Afrique, soit plus de 250 000!

 

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Il y en a donc partout, partout, partout!

 

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Les éléphants adorent “s’arroser” de sable, ce qui leur permet de trouver une certaine fraîcheur sous cette chaleur écrasante.

 

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À une époque où le safari signifiait une partie de chasse, on a dénommé les “Big Five” comme étant les animaux les plus dangereux d’Afrique.

En effet, saviez-vous que le buffle, l’éléphant, le léopard, le lion et le rhinocéros sont les cinq animaux qui, instinctivement, chargeront sur leur agresseur pour le tuer? Tous les autres animaux prendront la poudre d’escampette s’ils sont blessés par autrui.

Alors, si vous avez envie d’aller à la chasse aux “Big Five”, ne manquez surtout  pas votre premier coup…

 

 

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Sous cette chaleur intense, les félins sont demeurés bien discrets… tandis que les éléphants en ont profité pour aller prendre un bain!

 

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L’union fait la force, les éléphants traversent toujours en groupe!

 

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Afin de “vivre” au maximum cette proximité, nous avons opté pour une excursion sur la rivière Chobe.

 

 

Attention, passage à vos risques!

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Impressionnant de voir la quantité d’hippopotames et de crocodiles qui refont surface au moment où on s’y attend le moins…

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Ne  pensez même pas à mettre le petit orteil à l’eau…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Tous sont à la recherche d’un bon repas!

 

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Varan

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Mangoustes rayées

 

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Rares sont les moments où il est possible d’observer les hippopotames hors de l’eau.

 

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Sur une courte période (environ deux mois par année), tous les animaux du BOTSWANA cohabitent aux abords de la rivière Chobe.

 

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Puku, un cervidé endémique de la région.

 

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Hippotrague noir

 

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Buffle noir avec un oiseau perché sur le museau!

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Très impressionnant de voir le nombre de troupeaux d’animaux qui se partagent le même pâturage!

 

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Bien que nous soyons arrivés aux Chutes Victoria au moment où elles n’étaient pas mise à leur pleine valeur, cela nous aura permis d’observer une faune abondante sur les cours d’eau en amont.

 

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Avec ses parcours davantage “sportifs”, un 4x4 est nécessaire pour  parcourir le parc national Chobe.

 

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Beaucoup plus pratique compte tenu du temps que nous disposions, nous avons opté pour un safari guidé en jeep.

 

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C’est ça l’Afrique!

 

Faire un safari en Afrique est une expérience incroyable et notre séjour au BOTSWANA la complète bien!

Nous n’avons pas eu la chance d’observer de guépard… et c’est un excellent prétexte pour revenir!

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De retour en Afrique du Sud (Richards Bay), nous reprenons la mer en vue de passer le Cap de Bonne-Espérance.

Go Go les Myriam!